un arbre tailladé, cela peut encore aller? mais deux, trois etc...cela devient suspect. c'est pourtant ce qui s'est passé devant le Diana.
Premier acte dans notre jardin, à la hauteur du passage sous-immeuble. Un arbre a dû être abattu après qu'un ou des inconnus aient scié son tronc, juste assez pour le faire crever.
2e acte, des copropriétaires que le président Spinas doit connaître , ont demandé à ce que les arbres soient élagués pour dégager la vue de ces messieurs-dames.
Comme la majorité des arbres se trouvent dans la propriété voisine, ni une ni deux, des inconnus qui ne le resteront pas longtemps et répondront de leurs actes, ont procédé de la même manière sur cette propriété privée dont le propriétaire ne se laissera pas faire sans réaction.
Reste à savoir à qui profite le crime et il sera facile -espérons -le - d'identifier les auteurs de cet acte barbare.
Nous aiderons notre voisin dans sa démarche!
mercredi 26 mars 2014
samedi 22 mars 2014
dépenses: on coule
la lecture des PV des assemblées de Coralmar apporte chaque année son lot de surprises désagréables avec une plongée sans fond dans les comptes, largement déficitaires. On se noie, le terme correspond bien pour une fois, avec 60 000 euros pour une piscine!
Ajoutez y 5804 euros pour leur maintenance, sans compter des milliers de litres d'eau, de l'énergie, etc...
On le répète chaque année: à ce prix, buvez l'eau, elle est au prix du meilleur champagne millésimé. Il en découle des charges qui prennent l'ascenseur. Et ce ne sont pas les 7500 euros de charges pour la vigilance (2 mois) qui vont alléger les comptes, ni même les impôts du personnel que nous continuons de payer malgré les promesses, bien entendu non tenues, de revoir cette question.Il faudra sans doute atteindre le demi-million de budget pour que les co-propriétaires, saignés à blanc, réagissent enfin. Seule la présidente espagnole des Bungalows continue, avec nous, de s'interroger et de désapprouver une telle folie animée par la même équipe qui se partage titres et remboursements.
Ajoutez y 5804 euros pour leur maintenance, sans compter des milliers de litres d'eau, de l'énergie, etc...
On le répète chaque année: à ce prix, buvez l'eau, elle est au prix du meilleur champagne millésimé. Il en découle des charges qui prennent l'ascenseur. Et ce ne sont pas les 7500 euros de charges pour la vigilance (2 mois) qui vont alléger les comptes, ni même les impôts du personnel que nous continuons de payer malgré les promesses, bien entendu non tenues, de revoir cette question.Il faudra sans doute atteindre le demi-million de budget pour que les co-propriétaires, saignés à blanc, réagissent enfin. Seule la présidente espagnole des Bungalows continue, avec nous, de s'interroger et de désapprouver une telle folie animée par la même équipe qui se partage titres et remboursements.
Inscription à :
Articles (Atom)