Depuis deux ans toutefois - et dieu sait ce que cette année réserve comme surprise - le co-propriétaire du fabiola 23 abandonne le logement avec des problèmes d'écoulement ou de wc défectueux. Le responsable du logement a donc dû commander les travaux de réparation, puis les payer.
Restait ensuite à calculer les parts de chacun et à réclamer le remboursement au co-propriétaires. Banal.
Aucune réponse. Et aucun versement en 2012.
Rebelote en 2013, avec une facture plus lourde.
Les deux notes se montent alors, pour le co-propriétaire défaillant, à trois cents euros.
Cela commence à peser.
Débute alors une longue bataille. Courriels, messages téléphoniques etc... durent six mois: aucune réaction.
L'homme fait le mort.
Sauf auprès du président Oliver Colletta, à la fois propriétaire, président du Fabiola et de l'urbanisation.
Le bonhomme se plaint de ces demandes incessantes, de plus en plus nerveuses.
Mais il ne répond jamais au responsable du fabiola 23.
La logique voudrait que le président Colletta n'adopte qu'une seule attitude: rappeler ses obligations au défaillant.
Ses seules conseils sont: dialoguer.....avec quelqu'un qui ne répond pas. Plutôt impossible. Colletta prend fait et cause pour celui qui doit de l'argent...plutôt qu'avec celui qui a avancé cet argent.
Mais comment dialoguer avec quelqu'un qui fait le mort.
Décembre 2013, après une nlle série de courriels et de SMS, l'une des deux serrures est changée. Des dispositions sont prises pour que la clef soit remise à ce personnage lorsqu'îl aura enfin - deux ans après - payé sa part.
Il continue de faire le mort.
Réveil soudan en mai lorsqu'il apprend que sa venue sera comprise puisque le fabiola 23 ne peut être nettoyé.
Entre à nouveau en scène le sieur Colletta.
Que fait-il? il recommande de régler enfin ces dettes? que non: il force la porte d'un appartement qui ne lui appartient pas, change les serrures et laisse donc le bonhomme financièrement défaillant...pénétrer dans le logement comme s'il ne devait rien.
Dire que c'est scandaleux est en dessous de notre pensée.
Encourager ainsi ceux qui ne remplissent pas leurs obligations en violant même la loi sont trop pour nous.
UNE PLAINTE PENALE POUR VIOLATION DE DOMICILE - M. COLLETTA N'EST EN RIEN PROPRIéETAIRE DU FABIOLA 23 - ET DOMMAGE A LA PROPRIETE A ETE DEPOSéE.
D'autres actions, encore plus gênantes, ont été entreprises.
Promis: ce sera encore plus douloureux financièrement!
Seule crainte pour juillet: quels sont les dégâts qu'il faudra encore réparer au fabiola 23....et qui fera encore le mort. Mais là aussi, notre réaction sera fort désagréable.
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