samedi 7 mai 2016
sans surprise et très inquiétant
Les trafiquants de drogues qui occupent en grappes les rues touristiques de San Antonio ont un bel avenir devant eux: plus de 97% des travailleurs britanniques qui débarquent dans cette ville transformée en banlieue sale d'Angleterre y viennent pour y consommer de la drogue, y boire comme des trous au moins cinq jours sur sept et y avoir des relations sexuelles multiples non protégées.
Un sondage effectué auprès de 200 travailleurs britanniques (sur les 2000 de San Antonio) âgés de 16 à 35 ans confirment qu'il faut mieux éviter ce cimetière de débauchés, sauf pour y admirer des animaux humains .
Cette étude rappelle d'autres chiffres relatés par le passé dans cette chronique. Il y était question du nombre de plaintes pour viols en vue d'un éventuel avortement facilité: il y apparaissait que les jeunes femmes britanniques entretenaient des relations sexuelles avec trois partenaires différents en une semaine et qu'elles ne savaient généralement rien d'eux. Plusieurs de ces relations se déroulaient alors qu'elles n'étaient plus en état de distinguer quoi que ce soit.
Rien d'étonnant à ce que l'on aperçoive des étrangers hors européens frustrés tourner dès 5 heures du matin autour des "cadavres", pardon, des jeunes femmes ivres-mortes, pour se proposer de les aider ou tenter de voler le peu qu'il leur reste vu la légèreté de leur habillement, une invitation au viol.
Nous l'avons personnellement vu à plusieurs reprises lorsque le traditionnel hurlement des huluberlus sortant des boîtes et les inévitables sirènes policières vous forcent à sortir la tête de votre embarcation amarrée à San Antonio.
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